Chypre est un petit bout de terre au milieu de la mer méditerranée. Elle n'a cessé d'être tiraillée entre la Turquie et la Grèce. Depuis de longs siècles, les deux états se divisent cette île qui pourrait être paradisiasque. Récemment, elle est devenue un état indépendant et uni. La Turquie a cessé d'exister donc, Chypre a pris son indépendance, et s'est affichée à la face du monde. Mais elle n'est qu'un pion dans un vaste conflit entre la Russie est l'Europe alliée aux États-unis d'Amérique.
Le centre de ce conflit n'est plus la domination idéologique, comme c'était le cas durant la guerre froide. Non, aujourd'hui, il s'agit de la domination par la religion. L'ouest soutient les catholiques tandis que l'est veut impose les chrétienté orthodoxe. Et l'œil du cyclone se trouve être l'ancienne Istanbul devenue musée vivant, rebaptisé Nova Roma. Les russes veulent imposer leur candidat à la régence de cette zone du monde. L'ouest n'est pas d'accord. L'enjeu est trop important. Alors ils envoient l'agent Daryal pour retrouver l'héritier de l'empereur de Byzance, Constantin. Il ets le créateur de l'empire ancestral de la région.
Pour le retrouver Daryal a la possibilité de parasiter les rêves de cet héritier. Le temps es à rebours. La course commence et les rencontres hasardeuses aussi.
Vous l'aurez compris, il est question ici d'un roman d'espionnage qui penche légèrement vers l'anticipation. Le mélange a de quoi faire saliver. En tous cas, c'était mon cas. Du coup, la déception est d'autant plus grande. J'ai eu du mal à accrocher au concept de la lecture des rêves à distance. J'ai pas trouvé le tout très clair pour être honnête. Mais je me suis dit "Faisons abstraction de la difficulté, et laissons les choses arriver". Hé ben justement, elles en mettent du temps à arriver les choses. Pour ma part, j'ai ressenti beaucoup de lenteurs avec les états-d'âme des personnages.
Du coup, le dénouement finit par arriver puis... plus rien... Alors que tout pouvait encore rebondir, ça en reste là. Rien de plus. Je dois avouer que je n'ai pas tout compris à la fin. Tout du moins, je ne l'ai pas trouvé très logique. mais bon... Je ne suis que lecteur.
Le centre de ce conflit n'est plus la domination idéologique, comme c'était le cas durant la guerre froide. Non, aujourd'hui, il s'agit de la domination par la religion. L'ouest soutient les catholiques tandis que l'est veut impose les chrétienté orthodoxe. Et l'œil du cyclone se trouve être l'ancienne Istanbul devenue musée vivant, rebaptisé Nova Roma. Les russes veulent imposer leur candidat à la régence de cette zone du monde. L'ouest n'est pas d'accord. L'enjeu est trop important. Alors ils envoient l'agent Daryal pour retrouver l'héritier de l'empereur de Byzance, Constantin. Il ets le créateur de l'empire ancestral de la région.Pour le retrouver Daryal a la possibilité de parasiter les rêves de cet héritier. Le temps es à rebours. La course commence et les rencontres hasardeuses aussi.
Vous l'aurez compris, il est question ici d'un roman d'espionnage qui penche légèrement vers l'anticipation. Le mélange a de quoi faire saliver. En tous cas, c'était mon cas. Du coup, la déception est d'autant plus grande. J'ai eu du mal à accrocher au concept de la lecture des rêves à distance. J'ai pas trouvé le tout très clair pour être honnête. Mais je me suis dit "Faisons abstraction de la difficulté, et laissons les choses arriver". Hé ben justement, elles en mettent du temps à arriver les choses. Pour ma part, j'ai ressenti beaucoup de lenteurs avec les états-d'âme des personnages.
Du coup, le dénouement finit par arriver puis... plus rien... Alors que tout pouvait encore rebondir, ça en reste là. Rien de plus. Je dois avouer que je n'ai pas tout compris à la fin. Tout du moins, je ne l'ai pas trouvé très logique. mais bon... Je ne suis que lecteur.
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