Les grandes villes sont des catalyseurs. Elles cristallisent les peurs, les espoirs et les larmes de l'Humanité. Parce qu'elles regroupent une population hétéroclite, elles sont le laboratoire rêvé pour apprendre à comprendre les réactions humaines. Et, de ce fait, elles sont le le terreau parfait pour les excès de toutes sortes.
New York, la grosse pomme, n'est pas une exception. Bien au contraire. Peut-être plus que les autres, la mégapole américaine est le centre d'attraction du vice et des victimes innocentes. C'est vrai, toutes les victimes sont innocentes par définition. Mais certaines recherchent probablement un peu plus ce qui leur arrive. Plusieurs fois, elles devinent par elles-mêmes qu'elles doivent arrêter, puis le besoin de savoir est plus fort. Et le résultat est parfois plus lourd que la mort. Le journaliste Brady O'Donnel en fait en ce moment la terrible constatation. Pourtant, tout était très simple. Il avait fini un reportage et cherchait un nouveau sujet. On lui a proposé de rencontrer une actrice de film pornographique. Il a accepté d'y aller sans vraiment savoir ce qu'il allait y trouver. La starlette se tire une balle en pleine tête en face de lui, elle est poursuivi par "des démons". Il n'a plus le choix, il veut comprendre. Mais il est le seul témoin. Et de témoin privilégié, on passe souvent à suspect. Et l'enquêtrice n'est autre que sa femme, Annabel. Il ne veut rien lui dire. Il court conte les démons, et à contre-courant de l'Humanité. Il va se perdre dans les couloirs de la mégapole.
Maxime Chattam nous l'avait promis, il l'a fait.
Rappelez-vous! Annabel est la flic de New-York que Brolin rencontre dans In Tenebris. A la fin de la trilogie, il nous avait promis de nous raconter l'histoire du mari disparu de ce flic. Et il a trouvé le temps de le faire. Et il ficelle au passage un thriller comme il sait le faire. O y retrouve tout ce qu'on aime de Chattam: un style cinématographique, des cliffhangers à la fin des chapitres décisifs puis des personnages forts et charismatiques. Je vous le dis tout y est. Les pages se tournent toutes seules, et on se prend de passion pour ce journaliste. On veut savoiroù il va mais aussi comme il va se sortir de ce dédale vicié. On sait très bien la fin, mais pas exactement la quelle. Le postulat de départ est "Brady O'Donnel a disparu" A partir de là, tout est ouvert. Et Maxime s'en sert pour défoncer les portes les plus surprenantes.
Cependant, j'ai pas vécu à cette lecture la passion que j'ai eu avec ses tomes d'Autre-monde. J'ai eu comme un petit goût de trop peu, de trop vite. Le final est époustouflant et inattendu mais j'ai l'impression que le roman s'essoufflait. Qu'il était temps que la fin arrive.Peut-être est-ce du au fait que le thriller ne m'attire trop plus? Mais je n le pene pas puisque le dernier Thilliez ou encore Monster de Patrick Bauwen m'avait laissé sur les fesses. Par conséquent, mon avis est un peu mitigé. Le roman était attendu et il ne répond que partiellement à mes attentes.
New York, la grosse pomme, n'est pas une exception. Bien au contraire. Peut-être plus que les autres, la mégapole américaine est le centre d'attraction du vice et des victimes innocentes. C'est vrai, toutes les victimes sont innocentes par définition. Mais certaines recherchent probablement un peu plus ce qui leur arrive. Plusieurs fois, elles devinent par elles-mêmes qu'elles doivent arrêter, puis le besoin de savoir est plus fort. Et le résultat est parfois plus lourd que la mort. Le journaliste Brady O'Donnel en fait en ce moment la terrible constatation. Pourtant, tout était très simple. Il avait fini un reportage et cherchait un nouveau sujet. On lui a proposé de rencontrer une actrice de film pornographique. Il a accepté d'y aller sans vraiment savoir ce qu'il allait y trouver. La starlette se tire une balle en pleine tête en face de lui, elle est poursuivi par "des démons". Il n'a plus le choix, il veut comprendre. Mais il est le seul témoin. Et de témoin privilégié, on passe souvent à suspect. Et l'enquêtrice n'est autre que sa femme, Annabel. Il ne veut rien lui dire. Il court conte les démons, et à contre-courant de l'Humanité. Il va se perdre dans les couloirs de la mégapole.
Maxime Chattam nous l'avait promis, il l'a fait.
Rappelez-vous! Annabel est la flic de New-York que Brolin rencontre dans In Tenebris. A la fin de la trilogie, il nous avait promis de nous raconter l'histoire du mari disparu de ce flic. Et il a trouvé le temps de le faire. Et il ficelle au passage un thriller comme il sait le faire. O y retrouve tout ce qu'on aime de Chattam: un style cinématographique, des cliffhangers à la fin des chapitres décisifs puis des personnages forts et charismatiques. Je vous le dis tout y est. Les pages se tournent toutes seules, et on se prend de passion pour ce journaliste. On veut savoiroù il va mais aussi comme il va se sortir de ce dédale vicié. On sait très bien la fin, mais pas exactement la quelle. Le postulat de départ est "Brady O'Donnel a disparu" A partir de là, tout est ouvert. Et Maxime s'en sert pour défoncer les portes les plus surprenantes.
Cependant, j'ai pas vécu à cette lecture la passion que j'ai eu avec ses tomes d'Autre-monde. J'ai eu comme un petit goût de trop peu, de trop vite. Le final est époustouflant et inattendu mais j'ai l'impression que le roman s'essoufflait. Qu'il était temps que la fin arrive.Peut-être est-ce du au fait que le thriller ne m'attire trop plus? Mais je n le pene pas puisque le dernier Thilliez ou encore Monster de Patrick Bauwen m'avait laissé sur les fesses. Par conséquent, mon avis est un peu mitigé. Le roman était attendu et il ne répond que partiellement à mes attentes.
1 commentaire:
Ah très déçue de ce tome-ci, ce qui est bien c'est qu'on sait ce qui arrive au mari d'Annabelle, il y a peu de scènes gores mais elles sont pas mal. J'en attendais beaucoup mais hélas, une lecture qui s'essouffle jusqu'à la fin !
Enregistrer un commentaire