Une scène horrible de plus pour Jane Rizzoli. A peine remis de sa dernière affaire, elle plonge dans les méandres d'un crime à l'air mystique. Le corps est découpé et les différentes parties semées dans les pièces de la maison. La mise en scène macabre signifie une seule chose si on y croit le message laissé par l'assassin: J'ai pêché. Le réveillon Noël s'annonce douloureux, surtout que ses parents s'en mêlent. L'amour n'est pas éternel. La Vie non plus...

J'avais déjà lu le précédent de Tess Gerritsen, Au bout de la Nuit. Et il m'avait bien plu à la lecture, mais pas laissé un souvenir impérissable. Et j'ai l'impression que ça va être la même chose avec celui-ci. Il y a de très bonne idées dans ce roman. Par exemple, cette confrérie d'érudits qui chasse le Mal à travers leurs études de l'histoire, du symbole ou de la Civilisation. Mais, là, il y a un problème pour moi dans le traitement des personnages. Ils sont trop poussés et tombent dans le stéréotype. Pour certains, leurs traits grossiers se comprennent à la conclusion du roman. Mais pour d'autres, les défauts restent et fatiguent au long de la lecture. Même l'inspecteur Rizzoli n'est pas traitée finement lorsqu'il est question de son inimitié vis à vis du Mephisto Club. Pour tout vous dire, y a des paragraphes entiers de réflexion des personnages que j'ai sauté.
Du coup, j'ai ressenti des longueurs qui m'ont gâché le plaisir de la lecture. C'est dommage. Définitivement, je ne réessayerai pas cet auteur. En deux romans, elle n'a pas réussi à me passionner.
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