Au moment de la sortie d'In Tenebris, Maxime Chattam était encore une surprise pour tous les lecteurs. Ce thriller était impressionnant par l'atmosphère fantastique qu'il créait alors que les protagonistes n'étaient tous que des humains. Je me suis alors personnellement dit que cet auteur était vraiment bon. Son troisième roman, Maléfices, m'a confirmé la chose.
Seulement, ces deux romans faisaient partie d'une trilogie à travers de laquelle on suivait le même personnage. Qu'allait-il en être du quatrième roman? Maxime Chattam allait-il réussir à sortir du schéma qu'il avait suivi dans les trois premiers? Lorsque j'ai eu le bouquin en mains enfin, j'avais peur d'être déçu. Vous le savez, lorsque je suis déçu, c'est pas beau à voir!...
Eh ben! Pour moi, Maxime réussit l'essai. Et avec brio messieurs dame, s'il vous plaît. Il nous conte une histoire où le passé et le présent se mêlent d'une manière où la logique n'apparaît que dans les dernières pages. Reprenons au début.
Durant tout le roman, on suit le personnage de Marion qui travaille à l'institut médico-légal de Paris. Pour une raisons qui nous ai encore inconnue dans les premières pages, la DST la met en planque au Mont Saint Michel, au sein de confrérie religieuse. L'ennui arrive vite pour cette femme de la ville. Pour y palier, elle accompagne un des frères à la bibliothèque de la ville voisine, Avranches, et elle y trouve un manuscrit qui l'intéresse. Elle le lit. Il s'agit d'un journal intime qui relate une enquête criminelle qui s'est déroulée au Caire en Mars 1929.
A partir de là, les deux récits s'entremêlent. L'intrigue principale devient la secondaire tandis que la secondaire prend une importance qui étonne. Et ce, jusqu'à la fin où tout est expliqué. Les choses sont rarement comme elles le paraissent.
Je ne peux en dire plus car je risque de vous dévoiler des détails. Chose qui serait gênante, et qui risquerait de vous gâcher la lecture. Comme je l'ai dit, Maxime s'en sort avec maestria. En plus, il n'a pas choisi la facilité. Il aurait pu continuer dans le polar urbain puisqu'il a prouvé qu'il le maîtrisait. Il a préféré s'immerger dans un récit mystico-historique. L'intrigue est construite de façon à vous prendre par la main pour vous montrer les choses comme on veut vous les montrer. En ce sens, Maxime Chattam est digne d'un M.Night Shamalayan. En conclusion, jetez-vous dessus si ce n'est pas encore fait depuis le temps.
Seulement, ces deux romans faisaient partie d'une trilogie à travers de laquelle on suivait le même personnage. Qu'allait-il en être du quatrième roman? Maxime Chattam allait-il réussir à sortir du schéma qu'il avait suivi dans les trois premiers? Lorsque j'ai eu le bouquin en mains enfin, j'avais peur d'être déçu. Vous le savez, lorsque je suis déçu, c'est pas beau à voir!...
Eh ben! Pour moi, Maxime réussit l'essai. Et avec brio messieurs dame, s'il vous plaît. Il nous conte une histoire où le passé et le présent se mêlent d'une manière où la logique n'apparaît que dans les dernières pages. Reprenons au début.
Durant tout le roman, on suit le personnage de Marion qui travaille à l'institut médico-légal de Paris. Pour une raisons qui nous ai encore inconnue dans les premières pages, la DST la met en planque au Mont Saint Michel, au sein de confrérie religieuse. L'ennui arrive vite pour cette femme de la ville. Pour y palier, elle accompagne un des frères à la bibliothèque de la ville voisine, Avranches, et elle y trouve un manuscrit qui l'intéresse. Elle le lit. Il s'agit d'un journal intime qui relate une enquête criminelle qui s'est déroulée au Caire en Mars 1929.
A partir de là, les deux récits s'entremêlent. L'intrigue principale devient la secondaire tandis que la secondaire prend une importance qui étonne. Et ce, jusqu'à la fin où tout est expliqué. Les choses sont rarement comme elles le paraissent.
Je ne peux en dire plus car je risque de vous dévoiler des détails. Chose qui serait gênante, et qui risquerait de vous gâcher la lecture. Comme je l'ai dit, Maxime s'en sort avec maestria. En plus, il n'a pas choisi la facilité. Il aurait pu continuer dans le polar urbain puisqu'il a prouvé qu'il le maîtrisait. Il a préféré s'immerger dans un récit mystico-historique. L'intrigue est construite de façon à vous prendre par la main pour vous montrer les choses comme on veut vous les montrer. En ce sens, Maxime Chattam est digne d'un M.Night Shamalayan. En conclusion, jetez-vous dessus si ce n'est pas encore fait depuis le temps.
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