Guérir sans frontière est un organisation non- gouvernementale à l'instant de médecin du monde. Elle s'installe dans les régions du monde où les cendres du conflit sont encore chaudes...Quand l'incendie est éteint. Parmi ces régions dévastées par l'humain, il y a l'Ouganda en Afrique Noire. La guerre civile y fait rage et embrigade des enfants. Dans ce pays, Abraham Van Tang (=Abe), médecin itinérant de l'ONG, a été dépêchée pour retrouver un de ses paires. Celui-là a disparu sans laisser de trace. Abe refait alors le chemin de son collègue pour le retrouver. Seule, les ennuis s'enchaînent et les priorités changent. Une cargaison de médicament vient d'être volée par des guérilleros locaux. Le danger de la solution est plus grand que habituellement. En effet, c'est injection sont le seul remède de la maladie du sommeil, omniprésente en ces régions. De plus, ce sont les dernières injections puisque le laboratoire pharmaceutique en a cessé la production. Une course contre commence.
Le véritable héros de ce roman est le pouvoir des groupes pharmaceutiques. Nous n'avons pas affaire un discours partisans mais à un discours réaliste et documenté. Photographe de formation, Patrick Bard raconte ce qu'il voit. Point. Il crée une intrigue qui sert ses propos. Et bien!...
Nous assistons à l'action de plusieurs personnes en des temps décalés. Par exemple, on écoute l'histoire d'un enfant soldat. Et le lien n'est fait qu'au trois quart du roman. Du fait que la narration ne soit pas linéaire (tant au niveau des lieux que temporellement parlant), la lecture s'en trouve au début un peu déconcertante. Toutefois, l'intérêt grandit tout au long de la lecture. Les personnages sont attachants.
Je vous conseille grandement cette lecture. Quand le talent se mêle à un discours intéressant, le résultat en est passionnant et impressionnant.
Le véritable héros de ce roman est le pouvoir des groupes pharmaceutiques. Nous n'avons pas affaire un discours partisans mais à un discours réaliste et documenté. Photographe de formation, Patrick Bard raconte ce qu'il voit. Point. Il crée une intrigue qui sert ses propos. Et bien!...
Nous assistons à l'action de plusieurs personnes en des temps décalés. Par exemple, on écoute l'histoire d'un enfant soldat. Et le lien n'est fait qu'au trois quart du roman. Du fait que la narration ne soit pas linéaire (tant au niveau des lieux que temporellement parlant), la lecture s'en trouve au début un peu déconcertante. Toutefois, l'intérêt grandit tout au long de la lecture. Les personnages sont attachants.
Je vous conseille grandement cette lecture. Quand le talent se mêle à un discours intéressant, le résultat en est passionnant et impressionnant.
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