Alors que je viens de finir le second roman de Sire Cédric De fièvre et de sang, j'ai voulu vous reparler de celui par lequel j'ai connu cet auteur. Et je vous parlerai du suivant par la suite!
Il existe une légende urbaine tenace et mortelle. Il est dit qu'un jeune homme hante les cimetières à la seule de rendre fou ce qu'il croise. Son regard rend fou n'importe qui. Fou jusqu'à la mort. Mais toute légende a son fond de vérité. Laissez-moi vous présenter la véritable histoire de l'enfant. L'histoire d'un cauchemar.
David est photographe. Son objectif est la photographie artistique mais l'art ne paie pas. Du coup, en attendant, il s'est rabattu sur la presse. Et avec Aurore, il traque le scoop et l'information qui vont faire d'eux des nouveaux Pulitzer. Mais la presse est devenu la course aux immondices et aux mensonges. Plus c'est racoleur, plus c'est vendeur. Alors lorsque sa collègue et ami l'appelle en plein milieu de la nuit pour couvrir en exclusivité le carnage fait par un gardien de cimetières chez lui, il se lève et y va. Tous y sont passés, et il le meurtrier s'est suicidé.
Autre jour, autre lieu. Kristel est la petite amie de David. Artiste peintre accomplie, elle vient donner du réconfort aux enfants de l'hôpital. Elle croise le chemin d'un jeune homme poursuivi par les Ombres. Il sort une arme. La panique s'installe et le coup part. Kristel meurt. David est seul, et reste persuadé que les deux affaires son liées. La traque commence, les Ombres cachent un homme. Un enfant, Nathaniel. Qui est-il ?...
Un récit qui vous ne lâcherez pas avant de connaître la fin. Les pages se tournent, et les événements se suivent pour attiser votre curiosité. Je découvre cet auteur, cette maison d'édition et cette légende. Alors je vais vous parler des trois. Le style de Sire Cédric est poétique. Dès le prologue, le lecteur est envoûté par la magie des mots utilisés. Les assonances et métaphores jouent le jeu de son propos. J'ai été véritablement bluffé. Par la suite, il m'a étonné par la facilité qu'il a de modifier subtilement son style selon les personnages centrales au chapitre concerné. Un écrivain de talent. C'est tout. Ces personnages sont taillés dans du marbre avec la souplesse du mercure. Je veux dire par là que le carcan est dessiné nettement mais qu'ils évoluent librement et rationnellement. Réussite sur toute la ligne. Un King de la première heure. Pour la légende urbaine, je la découvre. Et surtout, son traitement par l'intrigue du roman ne la dénature pas. Sire Cédric se sert pour élargir sur autre chose mais ce n'est pas un simple faire-valoir à l'intrigue. Cette légende en est véritablement le moteur.
Pour la maison d'édition, je vais vous raconter une anecdote. Un jour où j'attendais le train, je suis entré dans une grande librairie. Après avoir regardé vite fait les rayons, je me suis dirigé vers la responsable du rayon fantastique et lui ai demandé des romans de fantastique-horreur français, et elle m'a dirigé vers du thriller, voir Chattam ou Thilliez. Lorsque je lui ai précisé que ce que je cherchais se dirigeait plus vers Alec Covin, elle n'a pas su quoi me dire. Aujourd'hui, à sa place, je conseillerai d'aller vers des petits éditeurs comme Rivière Blanche ou Le pré aux Clercs, la réponse se trouve chez eux. Ils osent publier ces romans rejetés par les Grands parce que trop typés. Et à chaque fois, je ne regrette pas mon choix. Alors je dis bravo à ces petits éditeurs. Continuez votre travail.
Et vous, lisez L'enfant des cimetières de Sire Cédric et les autres
Il existe une légende urbaine tenace et mortelle. Il est dit qu'un jeune homme hante les cimetières à la seule de rendre fou ce qu'il croise. Son regard rend fou n'importe qui. Fou jusqu'à la mort. Mais toute légende a son fond de vérité. Laissez-moi vous présenter la véritable histoire de l'enfant. L'histoire d'un cauchemar.
David est photographe. Son objectif est la photographie artistique mais l'art ne paie pas. Du coup, en attendant, il s'est rabattu sur la presse. Et avec Aurore, il traque le scoop et l'information qui vont faire d'eux des nouveaux Pulitzer. Mais la presse est devenu la course aux immondices et aux mensonges. Plus c'est racoleur, plus c'est vendeur. Alors lorsque sa collègue et ami l'appelle en plein milieu de la nuit pour couvrir en exclusivité le carnage fait par un gardien de cimetières chez lui, il se lève et y va. Tous y sont passés, et il le meurtrier s'est suicidé.
Autre jour, autre lieu. Kristel est la petite amie de David. Artiste peintre accomplie, elle vient donner du réconfort aux enfants de l'hôpital. Elle croise le chemin d'un jeune homme poursuivi par les Ombres. Il sort une arme. La panique s'installe et le coup part. Kristel meurt. David est seul, et reste persuadé que les deux affaires son liées. La traque commence, les Ombres cachent un homme. Un enfant, Nathaniel. Qui est-il ?...
Un récit qui vous ne lâcherez pas avant de connaître la fin. Les pages se tournent, et les événements se suivent pour attiser votre curiosité. Je découvre cet auteur, cette maison d'édition et cette légende. Alors je vais vous parler des trois. Le style de Sire Cédric est poétique. Dès le prologue, le lecteur est envoûté par la magie des mots utilisés. Les assonances et métaphores jouent le jeu de son propos. J'ai été véritablement bluffé. Par la suite, il m'a étonné par la facilité qu'il a de modifier subtilement son style selon les personnages centrales au chapitre concerné. Un écrivain de talent. C'est tout. Ces personnages sont taillés dans du marbre avec la souplesse du mercure. Je veux dire par là que le carcan est dessiné nettement mais qu'ils évoluent librement et rationnellement. Réussite sur toute la ligne. Un King de la première heure. Pour la légende urbaine, je la découvre. Et surtout, son traitement par l'intrigue du roman ne la dénature pas. Sire Cédric se sert pour élargir sur autre chose mais ce n'est pas un simple faire-valoir à l'intrigue. Cette légende en est véritablement le moteur.
Pour la maison d'édition, je vais vous raconter une anecdote. Un jour où j'attendais le train, je suis entré dans une grande librairie. Après avoir regardé vite fait les rayons, je me suis dirigé vers la responsable du rayon fantastique et lui ai demandé des romans de fantastique-horreur français, et elle m'a dirigé vers du thriller, voir Chattam ou Thilliez. Lorsque je lui ai précisé que ce que je cherchais se dirigeait plus vers Alec Covin, elle n'a pas su quoi me dire. Aujourd'hui, à sa place, je conseillerai d'aller vers des petits éditeurs comme Rivière Blanche ou Le pré aux Clercs, la réponse se trouve chez eux. Ils osent publier ces romans rejetés par les Grands parce que trop typés. Et à chaque fois, je ne regrette pas mon choix. Alors je dis bravo à ces petits éditeurs. Continuez votre travail.
Et vous, lisez L'enfant des cimetières de Sire Cédric et les autres
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