C'est l'histoire de deux femmes. Deux femmes qui sont au même endroit pour la même cause mais la ressemblance s'arrête là.
En réalité, il s'agit de l'histoire d'une femme, Susan. Elle est une femme comme beaucoup d'autres dans l'East End. Elle a le malheur d'être la fille d'un petit délinquant notoire qui n'a jamais rien fait d'autre que se servir de ses poings. Et ce que ce soit pour faire son travail ou pour satisfaire ses envies de violences sur sa femme.
Cette femme qui vit dans ce contexte de violence grandit en développant cet espoir de l'amour. Cet espoir que l'Amour la sortirait de là, de cet égout. Elle a espoir que Barry est cet homme qui la délivrera des sales pattes de son père. Seulement voilà, après les viols de son père, elle doit subir les agressions physiques et verbales de son mari. Elle n'a rien, sauf ses enfants. Ils sont tout et elle ne veut pas les perdre. alors quand il a été question de sauver ses enfants, et plus particulièrement sa fille aînée, elle n'a pas hésité. Elle a tué Barry.
Le roman commence avec le transfert de Susan dans une autre prison pendant la durée de son appel. Là, elle y rencontre Matilda Enderby. Elle aussi a tué son mari. Sauf qu'elle, elle sort des beaux quartiers et que les féministes de tout poil ont vu en cette jeune femme la cible de la violence masculine. Susan vient des bas-fonds, de ces quartiers que personne ne veut voir. La différence entre ces deux femmes est là. Et ce n'est que la première. Elles sont si différentes qu'elles sont les deux faces de la même pièce.
Durant les deux tiers de ce dense roman (qui fait près de 700 pages tout de même), on nous raconte la vie de Susan, et son combat incessant contre la Vie qui a décidé de lui en faire baver. Du pur roman noir. Avec des personnages frôlant le stéréotype à chaque page. Mais jamais, l'auteur ne tombe dans la facilité. Pas une seule fois.
Par conséquent, les émotions sont vives et l'intérêt relancé par l'espoir de plus de chances pour Susan. A chaque page que l'on tourne, on veut croire que la vie est parfois un conte de fée. Et qui sait? Peut être qu'elle l'est de temps en temps.
Seconde partie du roman: rencontre avec son antithèse. Choc des cultures, et rébellion du lecteur. Rébellion par tant d'injustice et de peine. Et je peux vous assurer que vous aurez les larmes aux coins des yeux. Je les avais et j'en étais le premier étonné. Martina Cole nous a pondu un roman qui prend aux tripes avec un style juste de sniper. Pas un mot de trop, et ça touche au cœur de la cible.
En réalité, il s'agit de l'histoire d'une femme, Susan. Elle est une femme comme beaucoup d'autres dans l'East End. Elle a le malheur d'être la fille d'un petit délinquant notoire qui n'a jamais rien fait d'autre que se servir de ses poings. Et ce que ce soit pour faire son travail ou pour satisfaire ses envies de violences sur sa femme.
Cette femme qui vit dans ce contexte de violence grandit en développant cet espoir de l'amour. Cet espoir que l'Amour la sortirait de là, de cet égout. Elle a espoir que Barry est cet homme qui la délivrera des sales pattes de son père. Seulement voilà, après les viols de son père, elle doit subir les agressions physiques et verbales de son mari. Elle n'a rien, sauf ses enfants. Ils sont tout et elle ne veut pas les perdre. alors quand il a été question de sauver ses enfants, et plus particulièrement sa fille aînée, elle n'a pas hésité. Elle a tué Barry.
Le roman commence avec le transfert de Susan dans une autre prison pendant la durée de son appel. Là, elle y rencontre Matilda Enderby. Elle aussi a tué son mari. Sauf qu'elle, elle sort des beaux quartiers et que les féministes de tout poil ont vu en cette jeune femme la cible de la violence masculine. Susan vient des bas-fonds, de ces quartiers que personne ne veut voir. La différence entre ces deux femmes est là. Et ce n'est que la première. Elles sont si différentes qu'elles sont les deux faces de la même pièce.
Durant les deux tiers de ce dense roman (qui fait près de 700 pages tout de même), on nous raconte la vie de Susan, et son combat incessant contre la Vie qui a décidé de lui en faire baver. Du pur roman noir. Avec des personnages frôlant le stéréotype à chaque page. Mais jamais, l'auteur ne tombe dans la facilité. Pas une seule fois.
Par conséquent, les émotions sont vives et l'intérêt relancé par l'espoir de plus de chances pour Susan. A chaque page que l'on tourne, on veut croire que la vie est parfois un conte de fée. Et qui sait? Peut être qu'elle l'est de temps en temps.
Seconde partie du roman: rencontre avec son antithèse. Choc des cultures, et rébellion du lecteur. Rébellion par tant d'injustice et de peine. Et je peux vous assurer que vous aurez les larmes aux coins des yeux. Je les avais et j'en étais le premier étonné. Martina Cole nous a pondu un roman qui prend aux tripes avec un style juste de sniper. Pas un mot de trop, et ça touche au cœur de la cible.
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