Le deuxième arrondissement de la capitale est le centre névralgique de l'économie parisienne, voire française. C'est simple, c'est le lieu de localisation du palais Brongniart qui est le siège historique de la bourse de Paris. Bien évidemment, tout est géré par un système informatique ultra-performant. Mais les traders et autres banques sont restés sur place. Django fait partie de ces petits génies de la finance qui structure et déstructure des sociétés en un clic. Mais Django est également un homme complexe qui trouve une jeune femme chinoise morte dans son salon. Pourquoi lui? Qui est-il vraiment?
Mona Cabriole se pose ces mêmes questions. Elle reçoit des photographies de Django avec le cadavre de cette jeune femme. Elle ne sait pas trop en quoi en penser. Peut-être aura-t-elle suffisamment pour écrire un article après tout. Et puis, il est super mignon. Si elle pouvait en faire son quatre heures. Le problème, et c'est souvent le cas avec Mona, est qu'elle met le doigt dans un engrenage qui la dépasse. Et cette fois, c'est le ParisNews dans son ensemble qui va être menacé.
Quand les bas-fonds rencontrent les hauts lieux de la finance. Les ateliers clandestins sont ici le ciment d'une histoire qui implique les sociétés les plus importantes, et les traders les plus talentueux. L'auteur part d'une idée simple: et si les traders les plus ingénieux décidaient de se coordonner pour couler quelques sociétés spécifiquement choisie. Que sera le résultat? Où est le point de rupture entre la théorie et la pratique?
Le roman est ambitieux, et le propos amène à réfléchir sur l'état de notre économie. Elle ne tient pas à grand chose. Le seul petit souci que je pourrais mettre en avant est que l'auteur a choisi pour certains aspects de son histoire de traiter de tout cela sous la forme de la satire. Par conséquent, on sort un peu de la réalité avec certains personnages, et ça m'a coupé un peu. C'est le seul des Mona Cabriole qui m'a fait cet effet pour le moment. La lecture était bonne, mais ce petit quelque chose m'a éloigné de la chute.
C'est dommage parce que j'ai adoré le lire. La théorie du terrorisme des traders m'a intéressé. Et comme je vous le disais, vous allez forcément réfléchir en vous posant la question :"Et si c'était possible?..." L'originalité aussi est que le héros ici n'est pas que Mona Cabriole, mais le webzine dans son ensemble. Du coup, les autres membres de la rédaction sont travaillés plus en profondeur. Une bonne chose.
Mona Cabriole se pose ces mêmes questions. Elle reçoit des photographies de Django avec le cadavre de cette jeune femme. Elle ne sait pas trop en quoi en penser. Peut-être aura-t-elle suffisamment pour écrire un article après tout. Et puis, il est super mignon. Si elle pouvait en faire son quatre heures. Le problème, et c'est souvent le cas avec Mona, est qu'elle met le doigt dans un engrenage qui la dépasse. Et cette fois, c'est le ParisNews dans son ensemble qui va être menacé.
Quand les bas-fonds rencontrent les hauts lieux de la finance. Les ateliers clandestins sont ici le ciment d'une histoire qui implique les sociétés les plus importantes, et les traders les plus talentueux. L'auteur part d'une idée simple: et si les traders les plus ingénieux décidaient de se coordonner pour couler quelques sociétés spécifiquement choisie. Que sera le résultat? Où est le point de rupture entre la théorie et la pratique?
Le roman est ambitieux, et le propos amène à réfléchir sur l'état de notre économie. Elle ne tient pas à grand chose. Le seul petit souci que je pourrais mettre en avant est que l'auteur a choisi pour certains aspects de son histoire de traiter de tout cela sous la forme de la satire. Par conséquent, on sort un peu de la réalité avec certains personnages, et ça m'a coupé un peu. C'est le seul des Mona Cabriole qui m'a fait cet effet pour le moment. La lecture était bonne, mais ce petit quelque chose m'a éloigné de la chute.
C'est dommage parce que j'ai adoré le lire. La théorie du terrorisme des traders m'a intéressé. Et comme je vous le disais, vous allez forcément réfléchir en vous posant la question :"Et si c'était possible?..." L'originalité aussi est que le héros ici n'est pas que Mona Cabriole, mais le webzine dans son ensemble. Du coup, les autres membres de la rédaction sont travaillés plus en profondeur. Une bonne chose.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire